Pendant que le Président Ali Bongo Ondimba enchaîne les grands rendez-vous nationaux et internationaux, la Première Dame du Gabon, Sylvia Bongo Ondimba n’est pas en reste, bien au contraire !

Au sein de sa Fondation, ou à l’occasion de grands sommets internationaux, l’épouse du Président Ali Bongo Ondimba garde à l’esprit une seule et même mission : œuvrer pour aider les citoyens gabonais les plus démunis. 

La Première Dame a œuvré, à travers sa Fondation, à l’inscription à la CNAMGS des enfants de la rue recueillis au Centre Arc-en-ciel et des habitants du quartier sous intégré de la baie-des-cochons dans le 3ème arrondissement de libreville. 

Avec un maître-mot : l’action. « Je suis là parce qu’il faut agir, pour faire agir. Agir contre les inégalités, l’injustice et la pauvreté ; agir pour briser les barrières économiques, commerciales, culturelles et sociales ; agir en mettant l’humain au centre de nos investissements. »

 

En moins de 3 ans d’existence, la Fondation peut d’ores et déjà se féliciter de réalisations majeures dont la création du fonds de Microcrédit Akassi pour l’autonomisation et la promotion de l’entreprenariat des femmes, l’ouverture du Centre Mbandja pour le renforcement des capacités de la société civile gabonaise et l’adoption d’une résolution par les Nations Unies instaurant la Journée internationale des Veuves.

La Première dame du Gabon Sylvia Bongo Ondimba  a reçu le Prix de la Femme du Changement 2011 («Woman of Change 2011» ), lequel lui a été décerné par la Foundation for Social Change (FSC) – une organisation américaine dédiée à l’autonomisation et la promotion des femmes, en collaboration avec le Bureau des Nations Unies pour les Partenariats (BNUP).

A travers cette distinction, c’est toute l’oeuvre de la First Lady qui s’en trouve gratifiée,marquant ainsi la reconnaissance à l’échelle internationale de son engagement en faveur des Femmes et des Veuves à travers le Monde.

 

Depuis son adolescence, Sylvia Bongo Ondimba a toujours œuvré en faveur des personnes qui l’entourent. Alors qu’elle est encore élève à l’Institut de l’Immaculée Conception où elle a obtenu son baccalauréat, celle qui deviendra plus tard la première dame gabonaise est aux avants gardes de l’Association d’entraide aux orphelins de Libreville.

Son altruisme et son souci du prochain va continuer à se matérialiser après son mariage en 1989 avec Ali Bongo Ondimba. Accompagné de plusieurs femmes gabonaises parrainées par des structures internationales à l’instar de l’Unicef, de l’Unesco et de l’Oms, elle fera le tour du Gabon offrant divers dons, inaugurant des structures scolaires et sanitaires dans le cadre du programme « Tous les enfants ont droit au bonheur » .

L’accession à la présidence de la République de son époux, le 16 octobre 2009 ne change en rien son comportement. Au contraire, cette femme de coeur accentue ses actions en faveur des personnes vulnérables en consacrant son temps à la promotion de leur éducation et pour leur santé.

 

Au Gabon, la Fondation Sylvia Bongo Ondimba a engagé une stratégie globale de lutte contre les violences faites aux femmes et d’aide aux victimes. Elle se concentre particulièrement sur les très jeunes femmes et sur les veuves.

Lutter contre ces violences implique d’abord d’être à l’écoute des femmes et, en premier lieu des fillettes et des jeunes filles, cible la plus fragile de la population, qui sont trop souvent victimes de prédateurs sexuels, infectées par le virus du VIH ou qui subissent des grossesses précoces non désirées.

Depuis 2010, la Fondation a milité pour faire prendre des nouvelles mesures de protection des veuves au niveau national gabonais et international.

C’est sous l’impulsion de Sylvia Bongo Ondimba, et avec l’appui de la diplomatie gabonaise, que l’Assemblée générale des Nations Unies, par sa résolution du 20 décembre 2010, a fait du 23 juin la Journée internationale des veuves. Le 23 juin 2011, la Fondation a créé à leur intention une cellule d’accueil, d’écoute, de soutien et de conseil.

 

La Fondation permet également aux femmes d’accéder à un rôle économique : en distribuant des microcrédits dont plus de 1600 femmes gabonaises ont déjà bénéficié et en développant l’exploitation du moabi et de la résine de l’okoumé par les femmes des villages.

En 2013, la Fondation pérennise son action en aidant les femmes à se regrouper en coopératives, afin de réduire leurs dépenses, d’améliorer la production et de partager équitablement des bénéfices réguliers.

Inscrites dans une vision d’ensemble, ces actions démontrent que le Gabon, et avec lui l’Afrique, est à l’orée de grandes mutations. Ce siècle, encore jeune, sera le sien quand les femmes africaines se lèveront et libéreront leur potentiel créatif et leur force d’innovation.

Dame de cœur, à vous l’honneur …
Micro-crédit AKASSI

Micro-crédit AKASSI

Centre Mbandja

Centre Mbandja

Dame de cœur, à vous l’honneur …
Retour à l'accueil